Auteur/autrice : pregra66

La rue Charles Jacque est créé le 15 Juin 1905 par le vote du conseil municipal à cette date.

Située entre la place de l’Angelus et la rue Diaz, elle rend hommage à Antoine Barye artiste connu pour ces bronzes au thème animalier principalement.

voie communal qui relit la route nationale 7 en direction de la mairie actuelle, qui s’arrête au carrefour Miss Greenwood

On voit sur le Plan si dessus la R.N.7 avec les embranchements des voies qui donne sur le village dont la rue Séailles juste avant le bois de Bas Bréau.

La rue du 23 aout est une partie de la Route Départementantale 64 qui traverse le village entre Chailly en bière et Saint Martin en bière. la partie du 23 aout est celle qui part de l’entrée du village coté Chailly en bière et le carrefour située à l’entrée de la Grande rue et de la rue de Fleury. Elle doit son nom à la libération du village le 23 aout 1944 par les troupes Américaines qui remontait vers Melun et plus généralement le long de la Seine après la troué d’Avranches qui permis aux troupes de libération de faire reculer les allemands vers l’intérieur de la France. Le récit de cette épisode se trouve dans le livre de Madame Tartière qui vécut les années d’occupation à Barbizon.

La rue du 23 aout est longée sur une partie par la plaine de l’Angelus et l’autre part les premières maisons du village avec en premier le groupe de maison dit Les Roches. Composer de trois maisons dont la centrale est particulièrement bien décorer dans le style arabesque, faïence jaune et bleue magnifique visible en hiver à travers les branches des arbres.

une maison fût distraite pour devenir l’Aérium de Vitry, Maurice Thorez s’y serait caché pendant la guerre.

En continuant sur cette voie après avoir laisser le chemin de la messe, l’allée des Frères Farman, le chemin du Poirier, nous entrons dans le village avec ces maison des deux cotés pour y apercevoir l’école du village construite après 1903 date de la séparation de Chailly en bière.

puis le bout de la rue se présente avec sur la droite l’emplacement de l’ancien café Au bon coin, avec plusieurs propriétaires durant longue carrière commerciale commençant avant 1836 et se terminant après 1930.

La nationale 7 est une voie de communication ancienne, elle existe depuis de nombreux siècles, elle doit son tracé certainement aux voies romaines, puis elle porte le nom de voie royale avec Louis XIV qui commence les travaux, voie impériale avec Napoléon , puis voie de grande circulation n°7 avec la république, elle part de Paris pour se rendre dans le sud de la France, connue par la chanson de Charles Trenet, elle doit son heure de gloire avec les congés payés et les transhumances annuelles de Juillet et Août durant de nombreuses années. Elle passe sur le coté du village à travers la Forêt de Fontainebleau poursuivant son chemin jusqu’au bord la Méditerranée.

Avec la montée de la voiture, le nombre des véhicules ne fait qu’augmenter permettant à des établissements de se positionner le long de son axe pour profiter des passages, le Grand Veneur, La Broche, plus récemment une station d’essence qui se déplacera de l’autre coté de la R.N. 7 et quelques commerces ont fait de cette zone communale un attrait pour les visiteurs.

Le bois du Mée est la construction qui semble être la plus vieille sur l’axe de la R.N.7 , un pavillon de chasse du temps de Henri IV s’y trouvait. devenu avec le temps une propriété étendue qui au moment du partage de Barbizon et Chailly en bière a souhaité aller du coté de Barbizon plutôt que rester attacher à Chailly !

Ci dessous une des premières cartes postales produites par Siron avant que Barbizon redevienne un village à part entière.

En 1925 une installation est répertoriée par la mairie une ouverture de commerce de cantine et débit de boissons titrant moins de 23° , dans le baraquement élevé par la compagnie française d’entreprise à angle RN7 et chemin vicinal n°2 en date du 29 octobre 1925.

En 1926, Alfred Johner Suisse, hôtelier demande l’ouverture de commerce d’un hôtel restaurant et débit de boissons, nouvellement construit « Au grand Veneur » RN7 et le Chemin vicinal n°2 en date du 17 avril 1926.

puis en 1933 Siron Emmanuel, chauffeur demande une ouverture de commerce de restaurant, débit de boissons de moins de 23° à emporter et sur place RN 7 lieu-dit le bois du Mée en date du 1 mai 1933.

en 1954, André Thievin demande l’ouverture de commerce en une station service « ESSO service », pour vente de boissons sur place non fermentées avec 1° licence RN7 en date du 4 juin 1954.

Il y a eu d’autres commerces qui se sont installés aussi. Aujourd’hui il reste une activité réduite avec une boulangerie, une imprimerie, un commerce de cycle et une copropriété dans ce qui était le Grand Veneur.

Le 12 juillet 1905, par une lettre lu en conseil municipal, M. Comble fait don, d’une voie qu’il a ouvert et donné le nom Avenue des Charmettes, avec pour seul demande d’une plaque rappelant cette générosité.