Auteur/autrice : pregra66

  • Félix Herbert

    28 septembre 1847 à Amiens – 1er décembre 1917 à Paris

    Société(s)

    Société historique du VIe arrondissement de Paris
    Société historique et archéologique du Gâtinais

    Biographie
    Archiviste paléographe (promotion 1869), docteur en droit, avocat à la Cour d’appel de Paris, , maire du VIe arrondissement de Paris.

    Publications
    Le Château de Fontainebleau en 1580, 1903, Annales de la Société historique et archéologique du Gâtinais
    Le Château de Fontainebleau, les appartements, les cours, le parc, les jardins, 1937
    L’ancien Fontainebleau : histoire de la ville, rues, maisons, habitants au XVIIe siècle, 1912
    Les Contrats d’apprentissage à Fontainebleau au XVIIe siècle, 1897
    Fontainebleau révolutionnaire : liste des personnes mises en arrestation au ci-devant château (1793-1794), 1907
    De l’Exécution sur des objets particuliers, en droit romain. Des Effets des saisies, en droit français, 1874
    Extraits d’actes & notes concernant des artistes de Fontainebleau, 1901
    Les graveurs de l’école de Fontainebleau, 1896
    Les travaux de Philibert Delorme à Fontainebleau, 1895
    Recherches sur la céramique au XVIIe siècle, 1897, Annales de la Soc. Hist. et Archéol. du Gatinais
    Dictionnaire historique et artistique de la Forêt de Fontainebleau : Routes, carrefours, cantons, gardes, monuments, croix, fontaines, puits, mares, environs, moulins, etc, 1903

  • André Billy

    ANDRÉ BILLY
    BARBIZON, tout le monde descend!
    Quel voyage ! D’abord, trois quarts d’heure de la gare de Lyon à Melun, puis trois autres quart d’heure de Melun à Barbizon, dans un tortillard famélique qui souffle et peine comme un vieillard catarrheux. Enfin, tout arrive, même les voyageurs, et me voici au cœur de la province, à cinq cents ou mille kilomètres de Paris. J’avise aussitôt un indigène, tout de noir vêtu, replet, sympathique, et dont la bonne figure ronde, égayée de lunettes d’écaillé, ajoute à l’air franchement ecclésiastique du personnage.
    « Le pasteur de Barbizon », me dis-je, et je demande :
    — La villa « la Chevrette », s’il vous plaît ?
    — Ah ! oui. M. André Billy, me répond le saint homme. A deux pas. Je vous conduis.
    Le temps de m’excuser, de remercier, et nous sommes déjà devant une charmante maisonnette toute blanche aux volets vert foncé. Et voici qu’à ma surprise mon cicerone pousse le portail du jardin et, souriant :
    — Entrez donc, je vous prie.
    C’est André Billy en personne ! Il s’amuse fort de sa petite plaisanterie et moi j’en suis ravi. Voilà qui est cordial et qui me met à l’aise. J’aime ça.
    — C’est moi-même, me dit l’auteur de la Femme maquillée, qui ai dessiné le plan de ma maison, et jusqu’à la girouette que vous voyez sur le toit, et qui représente une chevrette. J’ai ainsi reconstitué, pièce par pièce, et aux dimensions exactes, mon ancien appartement de Paris, de telle sorte que tous mes meubles se sont retrouvés là-dedans comme chez eux.
    Esprit constructif et ingéniosité de romancier. Rien de plus logique. Nous entrons. C’est confortable, coquet. Aux murs, quelques « Marie Laurencin », Mais ce qui domine, on s’en doute, ce sont les bibliothèques, littéralement bon.
    Idées de livres.
    — J’ai près de 15.000 volumes, me confie André Billy. Pensez donc, vingt-sept ans de critique ! J’en ai reçu des « hommages »
    Cela nous reporte en 1909. A cette époque, André Billy avait déjà publié deux romans. En 1911, à la fondation de Paris Midi, il tient le courrier littéraire, et donne le compte rendu d’un livre par jour.
    En 1912, il fonde les Soirées de Paris, arec Apollinaire, puis « sort » cette série de romans remarqués qui va des Scènes de la vie littéraire, en 1919, jusqu’à Quel homme es-tu ? qui vient de paraître.
    — Avez-vous connu le curieux personnage de votre dernier, livre ?
    — Pas personnellement. Mais bien des gens m’en ont signalé l’existence, et le type est, paraît-il, assez courant. Il s’agit en l’occurrence d’un cas de timidité amoureuse. Mon héros idéalise à ce point les femmes que, le moment venu de faire intervenir ses sens, il demeure. Comme un coffre, dans un état de suave et redoutable insuffisance.
    Bigre ! Voilà qui doit être plutôt vexant : comme dirait le philosophe « Méfions-nous de l’idéalisme. »
    — Ainsi que pour mes précédents romans, poursuit André Billy, la critique, avec ensemble. étonnant, emploie à mon endroit les termes de « rationaliste », de « pur cartésien ». Est-ce un reproche ? Il est vrai que je suis pour le style invisible et la psychologie claire.
    Serait-ce une tare d’être clair ?
    Et le critique va-t-il critiquer la critique ? Ce serait assez piquant. Mais il n’est point besoin de poser à André Billy la question : « Quel homme es-tu ? » C’est un homme aussi fin que circonspect.
    — En réalité, ajoute-t-il, je suis de goût classique. J’ai reçu une formation jésuitique qui, à l’époque où elle me fut donnée, n’avait guère changé depuis le XVIIe siècle. Je suis en train d’ailleurs d’écrire un livre sur les Jésuites, livre dans lequel j’essaierai, bien entende, de me placer à leur point de vue.
    La maison visitée, le porto et le petit four de l’hospitalité savourés, André Billy m’entraîne dans son jardin, et là exalte avec passion le calme, la verdure et les petits oiseaux. cependant que l’heure de mon train approche. Nous gagnons la gare et, Comme je fais allusion à la longueur du trajet :
    — C’est excellent, m’assure le sage Barbizonnais. Tous les critiques devraient habiter la banlieue pour avoir le temps de lire. et de méditer.
    Le petit train siffle et démarre dans un long gémissement, de tous ses essieux.
    André Billy agite son mouchoir ; j’agite le mien.
    Adieu Barbizon !

    • A. Z.

    extrait

    Titre : Marianne : grand hebdomadaire littéraire illustré
    Éditeur : s.n.
    Date d’édition : 1936-01-29

  • La Famille Siron

    D’où vient le nom ?

    Autrefois connu comme le plus petit animal visible à l’œil nu, le ciron fait partie de la famille des acariens. Aussi appelé tyroglyphe de la farine ou acarien de cuisine, il mesure entre 0,5 et 1 mm. Présent essentiellement dans les cuisines et les garde-manger, c’est un acarien de stockage qui aime particulièrement les flocons, les graines, les céréales, les farines, le jambon, le fromage, la nourriture pour animaux ou encore les détritus humains. Pour savoir si un aliment est contaminé, il suffira de constater la présence d’une couche de poussière grise.

    Vue de l'arbre ascendant de Alexandre Siron dernier Siron connu à Barbizon
    Arbre généalogique des ascendants d’Alexandre Siron de Barbizon
    reproduction des ascendants d'Achille Siron premier photographe de la famille et producteur de centaines de cartes postales
    Arbre généalogique des ascendants d’Achille Siron

    Quelques exemples de la production de A. Siron sous les divers appellations commerciales

  • La photographie

    Nicéphore Niépce, un inventeur de Chalon-sur-Saône, associe ces trois procédés pour fixer des images (de qualité moyenne et nécessitant plusieurs jours de pose) sur des plaques d’étain recouvertes de bitume de Judée, sorte de goudron naturel qui possède la propriété de durcir à la lumière (1826 ou 1827) ; la première photographie représente une aile de sa propriété à Saint-Loup-de-Varennes en Saône-et-Loire. Nicéphore meurt en 1833 et Louis Daguerre poursuit l’amélioration du procédé. En découvrant le principe du développement de l’image latente, Daguerre trouve le moyen de raccourcir le temps de pose à quelques dizaines de minutes. En 1839, il promeut son invention auprès du savant et député François Arago, qui lui accorde son soutien.

    Avant la Photographie.

    Barbizon a bénéficié d’une aura qui a attiré une multitudes de peintres de tout les pays. Vers 1880 la plupart des peintres avaient acquis la notoriété que nous connaissons, certains vivaient encore dans notre village, d’autres étaient parties sous d’autres latitudes plus clémentes, ou prés d’étendues d’eau, que ce soit un fleuve ou une bordure de mer.
    Les progrès technologiques de ce XX) siècles sont pléthores, mais parmi ceux-ci l’invention du procédé de fixation d’une image sur un support restituant la vision de celui qui la fixait, a fait basculer le monde, avant les reproductions dans les journaux étaient des tailles douces et autres procédés utilisant l’encre et le savoir faire des artistes. Mais avec la photographie, l’envol des reproductions des vues pris une ampleur universelle, on trouvait les photographies partout, et la carte postale en fut une application des plus lucratives pour les producteurs, elle existe encore de nos jours, ayant quand même failli disparaitre avec l’utilisation des téléphones portables, heureusement le bon sens à sauver ce petit morceau d’émotion envoyer avec amitié accompagner de mots gentils, ou invitant l’heureux receveur à rêver en regardant le visuel et lisant les mots écrits au dos de celle-ci.

    Qu’ont-ils fait

    Nous savons par des témoignages d’écrivains, André Billy et Gassies qui ont abondamment parlé de l’histoire du village que le père François Emmanuel est celui qui eut l’idée de monté un lieu de restauration et de repos pour les nombreux peintres et touristes venant à Barbizon, le nom d’hôtel de l’exposition il le doit à l’empereur Napoléon III qui de passage à Barbizon est venu visité son « exposition de tableaux »,y a acheté des tableaux, exposition qui est dû à la demande des peintres pour concurrencer l’Hôtel des artistes pas très loin de chez lui, hôtel des artistes par Luniot le gendre de Ganne qui trouvait que l’auberge du même nom devenait trop ancienne et trop rustique pour son époque et avait translater le tout au bord de la Forêt de Fontainebleau. Grâce à la présence de nombreux peintres la photographie devenait un fait important pour la peinture et Achille a dû très jeune accompagné ceux-ci dans leurs expéditions dans la forêt et apprendre et prendre gout à ce nouveau art naissant.

    La photographie

    Aristote et ses réflexions ont posé les bases de la photographie qui devient chose possible vers le début du XIX° siècle mais s’est avec Niepce que la photographie devient réel et Daguere en l’améliorant la rend exploitable en 1839. Talbot propose une solution qui est encore exploité de nos jours le calotype ( négatif-positif) permettant de faire plusieurs exemplaires de chaque photo, puis les procédés de restitutions vont émaillés les années suivantes jusqu’en 1884 où Eastman met au point les surfaces films comme nous les connaissions il n’y a pas si longtemps, et la photographie va se démocratiser et parcourir le monde entier.
    Revenons vers 1854 avec la production du format CDV, carte de visite, photographie de format réduit avec le portrait d’une personne permettant la diffusion à plusieurs exemplaires, l’industrialisation de la photographie est lancé ! Des peintres se sont lancés dans la photographie par curiosité et pour fixer le temps et la mémoire de nombreuses études d’arbres d’effet de lumière sont photographiés. A Barbizon, vers 1850 les photographes sont là, Gustave Le Gray, le Précurseur, suivront Charles Firmin, Achille Quinet parmis les plus connus alors comment ne pas s’étonné que la jeunesse de Barbizon devait être derriere eux, voir devant pour leurs montrer les plus belles vues et porter leurs matériels imposant de surcroit ! N’oublions pas Eugène Cuvelier, profession mécanicien à la date de son mariage, avec une des filles Ganne, Marie Louise née le 10 Octobre 1837 à Barbizon, un contrat de mariage est signé le 7 mars ches Maitre Viau à Perthes en gatinais avant le mariage le même jour avec comme témoins du mariage ; Corot, 61 ans, Rousseau, 47 ans, les deux amis de l’époux et Pouillot, 34 ans, cousin de l’épouse, Luniot, 36 ans, beau frère de l’épouse. Barbizon donc entre 1850 et 1900 devait voir des photographes de plus en plus nombreux et occasionna des vocations futures.

    Achille Siron

    Siron donc, à Barbizon, avait vue arrivé d’autres photographes pour y faire des vues et les vendre en cartes postales, pourquoi pas lui, et entre 1903 et 1920 ce sont des quantités de clichés qui sont transformés en cartes postales sur Barbizon, mais aussi de dizaines de communes au alentours, d’abord en carriole puis en voiture, se faire photographe éditeur de carte postale demande un temps et des connaissances que n’avait pas entièrement notre Siron, il s’associe avec ELD , un des plus grand imprimeur et producteur de carte postale de l’époque à Paris .

    Portrait en pied d'Achille Siron producteur de cartes postales de Barbizon principalement, mais aussi des communes autour du village

    Le successeur d’Achille, Alexandre Siron

    Alexandre James Siron, né le 9 novembre 1885 à Barbizon , fils d’Edmond Siron et Ann Downey est le deuxième Siron a prendre la profession de photographe , une trace nous est laisse en 1912 , il a 27 ans, il est possible que se soit ce jeune que l’on voit sur certaines cartes postales de A. Siron de plus cela pourrait expliquer le nombre important de cachets utilisés certains sont peut être attribuable à celui-ci, de plus il existe une série de carte postale à Brétigny sur Orge, pendant la première guerre mondiale concernant la station magasin dépendant de la 5° armée avec le cachet de A. Siron, édit.

    portrait en pied 'Alexandre Siron au magasin n° 5 à Brétigny vers 1915
  • Monument aux morts

    « aux enfants de Barbizon morts pour la France » phrase emblématique qui orne les monuments de toutes les communes de France pour rendre hommage aux soldats tombés aux champs d’honneur durant la première guerre mondiale.

    Barbizon comme toute les communes de France a perdu des enfants.

    Dans les années 1920-1925, ce sont quelque 35 000 monuments aux morts qui sont érigés malgré les difficultés de la reconstruction (plus de 95 % des communes françaises en possèdent un). L’État est intervenu pour accorder des subventions et réglementer les édifications, les souscriptions publiques couvrant parfois la totalité des dépenses.

    dossier préparatoire aux morts du village

    monument aux morts de Barbizon, le Gaulois don de Ernest  Revillon .
  • Bureau de poste

    photo d'époque représentant le facteur  en plein travail intellectuel

    Barbizon devenu une commune se devait, devant le trafic de courriers entre le bureau de départ de Chailly en bière et Barbizon, d’avoir un bureau de poste, doter d’un facteur receveur c’est à dire moitié distribution de courrier moitié guichet, chose voter et approuver en conseil municipal et par la signature d’un bail de 9 ans à partir du 1 Avril 1906 cela devenait une réalité.

    D’après le Briard pour 1904, M. Martin, au bureau de Barbizon(téléphone) était nommé.

    Carte postale ancienne avec au fond à droite le facteur receveur devant la porte du nouveau bureau de poste de Barbizon
    M. Roux assura le service de la poste à Barbizon.

    En 9 mois la recette s’est élevé à 90.000 Francs plus 80 Francs de frais pour télégrammes entre Barbizon et Chailly en bière ! La recette prévue pour une recette de 3° classe correspond à 3.000 francs mensuel, la commune demande donc un changement de catégorie. Le téléphone arrivant plus tard, il convenait de prendre les devant !

    Le passage du bureau en recette de 3° classe, le 1 juillet 1907 fait que le service des dépêche n’est plus effectué par le receveur à temps plein mais par monsieur Geneix Claude , un contrat est signé avec la mairie pour 200frs par an pour 4 ans. Devant l’expansion de Barbizon, autant par le nombre d’habitant que des visiteurs ,une demande d’agrandissement est demandé à la mairie. Le propriétaire demande un bail ferme après la fin de la reconduction de celui-ci en 1926. En juin 1913, la direction départementale de la poste se resigne à ne pas demandé d’agrandissement, mais une remise à neuf des murs et meubles de la salle publique avec la signature d’un bail du 1 Avril 1913 au 30 juin 1926.

    Carte postale ancienne avec l'hôtel Toulouse et l'auberge Au bon coin et le Bureau de poste au loin et sa multitude de lignes téléphoniques
    CP montrant la pose des lignes du téléphone dans le village.

    Les travaux demandés par la direction de la Poste sont terminé et le bureau est mis à la disposition du receveur le 15 Octobre 1913.

    Le 11 Janvier 1917 une indemnité de 75 Francs est accordé à madame Barrat pour le transport à bicyclette des dépêches.

    Madame Debord est receveuse au Bureau de Barbizon.

    Juin 1925 la direction de la poste informe qu’en raison du passage de à 15 jours à 21 jours de congé annuel , il y a lieu de supprimer la seconde tournée.

    La signature du renouvellement du bail du 1 juillet 1926 au 1 juillet 1931

    1927, la poste fait part de l’indemnité pour ouverture tardive du bureau, le conseil décide que cela sera mis en place du 1 juin au 30 Septembre.

    Vote d’une indemnité de 400 francs à madame Barrat, factrice à Barbizon pour le transport des dépêches aux écarts du village.

  • Mairie

    La mairie de Barbizon n’a eu lieu d’être que lorsque le village est devenu une commune soit en 1904. Ce n’est qu’un an plus tard qu’un habitant, monsieur Barbier fit une offre au conseil municipal en étant vendeur d’une maison, la villa Bagatelle, proche de l’école communale. Le conseil après en avoir délibère se porte acquéreur de cette maison pour y transporter la mairie , le logement du garde champêtres et dans un local situé en fond de propriété les pompiers et un poste de police.

    le premier conseil municipal est installé;

    • Maire J.B. Comble
    • Adjoint Jules Bourdois
    • Caron Louis
    • Lamirault
    • Marier
    • Marteau
    • Meneux
    • Millet François
    • Pochard sont élus conseillés.

    15 mai 1904 on lieu les élections nationales pour le renouvellement des listes municipales;

    • Maire Lamirault André
    • Adjoint Meneux Henri
    • Bachelard
    • Caron
    • Bergerin Dominique
    • Bergerin jules père
    • Masson Eugène
    • Millet François
    • Ribouillard Léon
    • Vallette Henri sont élus conseillés.

    En 1905 monsieur Barbier propose à la municipalité l’achat de la villa Bagatelle à coté de l’école publique.

    17 Mai 1908 élection municipale;

    • Maire Binet Félix
    • Adjoint Caron Georges Auguste
    • Meneux Henri
    • Ribouilard Jules
    • Lamirault André Léon
    • Pochard Louis Julien
    • Marier Charles
    • Tourteaux Louis Alphonse
    • Thorel Firmin Pierre Marteau Louis Corentin
    • Marteau Louis Corentin sont élus conseillés.

    Le maire est absent du conseil fin septembre 1910 pour apprendre en décembre que la maladie a atteint le maire, en Janvier il n’apparait plus sur les procès verbaux du conseil et le 26 février 1911 un vote est organisé pour comblé le nombre d’élus, m. Destroyes Louis est élu, puis un vote à lieu pour élire le maire, après 3 tours ayant obtenu deux candidats avec un nombre de voix égal c’est monsieur Tourteaux qui est élu étant le plus âgé, il refuse se vote comme indiquer sur le PV du conseil mais participera aux conseils municipaux jusqu’aux prochaines élections municipales.

    le 19 Mai 1912 élection municipale, devant l’augmentation de la population du village le nombre d’élu est augmenté;

    • Maire Caron Georges
    • Marteau André Léon
    • Bois Joseph
    • Duhamel Jean Théodore
    • Fouché Henri
    • Lamirautl André Léon
    • Marteau Louis Corentin
    • Meneux Henri
    • Paillard Eugène
    • Ribouyilard Jules Léon
    • Thorel Firmin Pierre
    • Tourteaux Louis Alphonse
    • Vallette Henri

    Au conseil du 20 décembre 1914 trois conseillés sont mobilisés Thorel, Caron et Paillard.

    le secrétariat de la mairie est confié à monsieur Delhomme, instituteur à la retraite domicilié à Arbonne la Forêt. Un vote est décidé le 12 juin 1919 pour reprendre monsieur Caron, instituteur, qui démobilisé .

    La guerre ayant perturber la tenue des élections, c’est le 10 Décembre 1919 qu’à lieu le vote pour élire les listes municipales;

    • Maire Caron Georges
    • Meneux Henri Adjoint
    • Duhamel Jean Théodore
    • Faideau Louis
    • Fouché Laurent
    • Jacqz Gustave
    • Lamirault Henri
    • Moreau Chalres
    • Paillard Eugène
    • Ribouillard Léon
    • Salmon Geogrs
    • Schaller Georges

    12 mai 1929 résultat élection municipale;

    • Roger Marius maire
    • Pochard louis Adjoint
    • Abraham Edmond
    • Bimm Robert
    • Bouvard Jules
    • Chabert Joseph
    • Delouche Emile
    • Fouché Henri
    • Gassies Henri
    • Marseillan Henri
    • Moyne Alfred
    • Salmon Georges

    Le 27 octobre 1931 un courrier adressé au maire fait état de la démission de l’adjoint Monsieur Pochard le 30 octobre un vote est organisé à l’issue duquel monsieur Salmon est élu adjoint, le 7 juillet 1931 le maire propose comme la loi lui permet l’adjonction d’un second adjoint au conseille municipal de Barbizon, le vote porte monsieur Gassies.

    12 Mai 1935 résultat des élections municipales;

    • Pochard Louis Maire
    • Salmon Georges 1° Adjoint
    • Gassies Henri 2° Adjoint
    • Bimm Robert
    • Deccher Claude
    • Delouche Emile
    • Fouché Henri
    • Husson Edgard
    • Meneux Maurice
    • Moyne Alfred
    • Salmon Georgfes
    • Paré Abel
    • Thorel Pierre

    La deuxième guerre mondiale vient perturbé le cycle républicain, par la libération du village le 23 aout 1944, un comité local de libération est constitué:

    • Leroux Roger, architecte, président du comité
    • Creuzé Jean , entrepreneur de maçonnerie, 1° vice president
    • Abram Jacques, Hôtelier, 2° vice président
    • Audran Georges, maçon, membre
    • Billy André, homme de lettres, membre
    • Cabaret Fernand, garagiste, membre
    • Chabert Gilbert, entrepreneur de plomberie, membre
    • Decosse Alfred, entrepreneur de maçonnerie, membre
    • Duriot Jacques plombier, membre
    • Launay Alfred, Chef de (illisible) de la chambre des députés, membre
    • Siron Emmanuel, restaurateur, membre
  • Loueur de voitures

    Professionnel de la location de véhicules hippomobiles, il séjournait vers l’entrée de la Grande rue du village.

    carte postale ancienne de Barbizon avec des voitures hippomobiles stationnées dans la Grande Rue du village vers 1905
    CPA avec la vue sur les voitures en attentes de location
    Attelage utilisé pour le transport de personnes

    Propriétaire, Monsieur Delouche vers 1900, il était chargé du corbillard depuis 1902 sur la commune de Chailly en bières dont faisait partie Barbizon.

    En 1922 le service du corbillard passe chez monsieur Debrune Florentin, venant du Pas de Calais, il en est fait mention par l’indication de la création d’un commerce de garagiste annexé au loueur de chevaux et de voitures en date 1 novembre 1922

  • Mlle Sonia Pavlof danseuse étoile

    Article du journal Le cri de Paris.