Villas et demeures de Barbizon.
Les maisons et villas dans les villages avaient un nom du faite que les rues n’indiquaient à l’origine, une direction rue de chailly, rue de macherin, un lieu caractéristique remarquable, rue de la plante rabot, , rue du puits, rue des vaches, rue des près, ru du bois joli. voilà quoi de plus simple pour situer les chemins et les maisons avec leurs noms sur la façade permettait de s’y retrouver.
Villa les Acacias, située rue Diaz, un rapport avec la présence de cette espèce végétale dans le terrain y a peut être donnée ce nom.
Villa les Acanthes, cette villa est située rue de la Barbizonnière, le nom désigne une plante herbacée plutôt méditerranéenne dont la forme a été utilisée en décoration du temps des grecs antiques les propriétaires ont-ils voulus se souvenir de l’époque où ils habitaient la côte méditerranéenne.
Villa Alice, située rue des Charmettes est une maison en double miroir collée avec sa sœur jumelle sans doute un cadeau d’un père pour ces deux enfants, qui étaient ils ? Pas d’indication à ce jour.
Villa des Amies, indication sur une carte postale seulement.
Villa l’allée des tilleuls, située rue Jean Batiste Comble premier maire de la commune, cette maison par son nom nous rappelle que la rue est bordée d’arbres qui formes un ombrage intéressants par les temps de grosses chaleurs, voir par cette annotation dans le livre des procès-verbaux communaux ; « décision du conseil municipal du village nous apprends le projet d’acquisition du chemin partant de la rue T. Rousseau et aboutissant à la rue G. Gassies , enclos dans les propriétés et charge monsieur le maire d’entrer en relations avec eux pour faire aboutir le dit projet ».
Villa Andrée, sise rue Antoine Barye, y voir sans doute le prénom de la dame du personnage qui fit construire cette maison nous trouvons une indication sur une carte postale.
Villa Aubépine, située rue Théodore rousseau, pareil à la villa Alice une maison en double miroir au vue de la forme de la maison, nous pouvons penser que l’autre partie de la maison avait un nom aussi jolie mais à ce jour aucun nom trouvé, cette maison ne porte plus de plaque.
Villa les Bambous, située rue Théodore Rousseau nous savons qu’elle fut construite avant 1933 car à cette date et même en 1934, elle était en location et comprenait cuisine, salle à manger, salon, 3 chambres et chambre de bonne une maison somme toute confortable et assez grande pour y loger une famille avec domestique. Elle servit de refuge pendant la seconde guerre mondiale.
Villa la Baraka, située proche de la forêt de Fontainebleau, un extrait de livre nous livre une indication sur elle : « Jean Luchaire, s’était rendu acquéreur d’une villa proche de la forêt, le souvenir, qu’il débaptisa et appelé la baracca. Il avait dépensé beaucoup d’argent pour l’aménager à son gout sans réussir toutefois à lui donner une physionomie bien plaisante, et n’obtenant d’autre résultat que de gâter l’entrée de Barbizon, du coté de la forêt, par un mur de clôture d’allure prétentieuse. » Extrait de : les beaux jours de BARBIZON d’André BILLY éditions du Pavois 1947.
Villa la Bécassière, sans doute construite dans les années trente une chambre est louée en meublée plus tard en 1939, la maison d’un chasseur qui y passait la saison à Barbizon, il faut savoir que bécasse vient d’un dérivé de bec par allusion au long bec de cette espèce mais aussi utilisé pour désigné un poisson, puis un coquillage, en vannerie un outil pointu, en métallurgie pour mesurer la descente de la charge dans les hauts fourneaux avec une sonde.
Villa Bel Ébat, située dans rue de la Barbizonnière elle semble récente, mais est dans la même veine que les autres belles villas, Il faut savoir que bel est utilisé pour remplacer beau en cas de voyelle et que ébat est principalement un terme de chasse qui signifie promenade des chiens, encore un chasseur ! La forêt de Fontainebleau n’est pas loin et Barbizon est connu au XVIII° et XIX° pour ces braconniers dont un des derniers célèbres est Rodolphe Bodmer.
Villa la Belle Marie construction en 1899 rue de Gaulle le nom en a été changé en Beauregard, pourquoi sans doute trop choquant pour l’époque au vue des mœurs de ce siècle, en effet y vivait une artiste très connue de ce temps. Jeanne Rongier.
Villa Bellevue, située au croisement des rue J.F. Millet et des Charmettes, elle est la première pierre de ce qui deviendra l’ensemble hôtel restaurant Bouvard, puis nous avons la construction en face dans l’angle des rues T. Rousseau et J.-B. Comble un autre édifice dite villa serge, sur la rue des Charmettes la villa églantine et la roseraie un jolie ensemble immobilier qui devait en imposer par l’étendue et la diversité des possibilité de logement dans ces divers édifices.
Villa la Bergerie, située dans la petite rue du même nom longeant le CD 64, un texte nous en fait un descriptif : « Une des filles de Ferdinand Chaigneau, Marguerite, avait épousé l’éditeur Piazza qui augmenta la Bergerie, construite par son beau père. Marguerite et Suzanne, soeurs jumelles, étaient fort jolies. Avec leur aînée, Thérèse, elles constituèrent le trio Chaigneau, célèbre dans les milieux musicaux du monde entiers ». Extrait de : les beaux jours de BARBIZON d’André BILLY éditions du Pavois 1947.
Villa Bernard, une indication dans le livre sur Barbizon nous livre un indice : « A la villa Bernard et à la villa Serge dont la première fut habitée quelques temps par Mme Segond-weber, s’était installé le docteur Giroux et sa famille. » Plus précisément le 1 décembre 1931 dans cette Maison sis avenues des tilleuls nous y apprenons qu’il s’agit une maison de convalescence et de repos pour enfants (nourriture, logements, soins médicaux) le docteur venait de Châteauneuf sur Loire.
Villa La Bidouchette, située rue Ernest Revillon,
Villa les Bleuets, nous en avons une trace laissée par une cessation de location appartement de 4 chambres, salle de bain, salle à manger, salon, cuisine, maison “Les Bleuets” , située rue Théodore Rousseau le 1 janvier 1933.
Villa le Bocage, située rue de la barbizonniaire cette maison porte un nom plutôt originaire de Normandie un rappel de la naissance du propriétaire.
Villa le Bois du Mée, cette demeure voir ancien relais de chasse royale, située en bordure de la forêt de Fontainebleau sur un parc de 16 hectares de forêt fait de cette maison une des plus grande de Barbizon, mais elle est en rapport avec ses propriétaires dont un des plus connu fut un des administrateurs de la fameuse compagnie du canal de Panama, mais un autre plus célèbre y vint un indice nous en est donné : « Henry Fouquier devait acquérir plus tard le Bois-Dumée où vint souvent Georges Faydeau. » Extrait de : les beaux jours de BARBIZON d’André BILLY éditions du Pavois 1947.
Une indication nous est donnée par le registre administratif avec les précisions suivantes :
20 décembre 1906 Fontane Marius barbizon Seguin, construction nouvelle, Bois du Mée, pavillon annexe 9 pièces y compris le sous-sol.
Une extension à l’existant construit pour placer l’argent gagné au vue de la suite.
Monsieur Marius Étienne Fontanes né à Marseille en septembre 1838 connue pour ces publications économiques, géographiques homme de lettre, écrivit une histoire universelle en 16 volumes in 8 mais il est connu par l’affaire judiciaire dite du canal de Panama, qui fit scandale qui nous livre les faits suivants. Par un rendu du 3° jugement de la cour de Paris qui dit que Ferdinand de Lesseps, Charles de Lesseps son fils, Marius Fontane et Cottu convaincus ;
De depuis trois ans de s’être conjointement rendus coupable de manœuvres frauduleuses et de s’être ait remettre par les mêmes moyens des souscriptions et d’avoir escroqué tout ou parti de la fortune d’autrui détournée au préjudice de la compagnie les effets et deniers confiés à leur garde.
Condamne Marius Fontane à deux ans d’emprisonnement et 20.000 fr. d’amende il fait appel et se pourvoi en cassation et à cause d’une erreur de procédure le procès est cassé, efface toutes traces de cette affaire concernant les prévenus et les fait libères de suite, alors que la presse avait dévoilé ce scandale qui avait dilapidé des centaines de millions de francs et fait des victimes trop crédules devant les chiffres de profit annoncés.
Villa les Boissets, située rue Ernest Revillon, le nom vient peut être d’un ancien habitant d’une des communes qui porte le nom de Boisset ; dans le Cantal, Hérault, Jura, Loire, haute Loire et le Vaucluse.
Villa les Bosquets, le nom vient du provençal qui désigne comme en français un petit bois, ce qui il faut le dire aujourd’hui n’est plus vrai pour cette propriété puisqu’elle touche la forêt de Fontainebleau ! Située à l’orée de la forêt cette maison à une forme très caractéristique par rapport à la normale, toute en longueur, il semble d’après les renseignements recueillies auprès de l’actuel propriétaire qu’une porte de la taille des deux fenêtres latérales est été présente avant, ce qui indiquerait un usage d’une scie de long pour découper les planches à la scie demandant un n plafond haut et permettant ainsi une découpe été comme hiver.
Villa Le Briarée, située rue Diaz à peut être à voir avec l’arbre du même nom qui est tombé en janvier 1899, c’est l’ancien bosquet de l’Empereur située au carrefour du Briarée, un souvenir nostalgique de ces années ou de la nature.
Villa Brulys, située sur le cd 64 dans sa partie qui part vers Macherin,
Villa le Bungalow, située sur la rue Seailles le nom rappelle l’origine modeste de ces maisons en bois construites pour y passer les vacances ou un week-end tranquille, ici la taille semble indiquée un sens ironique ou moqueur, il y a été fait depuis des ajouts et changements.
Villa Brésil, une indication sur cette maison nommée, location en meublé en 1926, appartements dans sa villa, mais où qui ? Mystère.
Villa le Canard sauvage, un indice dans le livre sur Barbizon : « Il loua dans la rue de Fleury qu’on appelle communément la rue des fermes, une maison à un étage, une sorte de presbytère de campagne, dont l’éloignement de la partie bourgeoise et commerçante du village flattait son gout pour l’isolement et le secret.// la maison avait été gratifiée d’une appellation ibsénienne : le canard sauvage. » Extrait de : les beaux jours de BARBIZON d’André BILLY éditions du Pavois 1947. Il s’agit d’une demeure qui est nommée aujourd’hui la plaine de bière. Elle fut aussi en 1861 la maison du maire de Chailly en bière Bellon Belloni.
Villa les Capucines, située rue du chemin de la messe.
Villa Carmen, située rue de la belle marie dans sa partie vers le bornage, rappelle un opéra célèbre de Georges Bizet d’après une nouvelle de Prospère Mérimée ou bien le plus simplement le prénom de sa tendre moitié.
Villa Castel Del Riols, en souvenir d’un natif Riols est située dans la vallée du Jaur. C’est une commune des Hauts cantons de l’Hérault, appartenant au canton de Saint-Pons-de-Thomières.
Villa Cécile, un indice dans une Carte postale nous en a laissé une trace.
Villa les Cerisiers, située rue des Charmettes elle y vit Henri Marmottan, né en août 1832 à Valenciennes (Nord) entomologiste, géologue, député de Paris et maire du XVI° arrondissement, membre fondateur de la société préhistorique française en 1904.
Villa Chantoiseau, située rue de la belle marie aucune indication sur la rue permet de la voir, un rapport avec
Villa les Charmilles, située rue Jean François Millet cette maison du début du XX° siècle.
Villa les Charmoz située rue de la plante rabot, elle indique
Villa la Chaumière, située rue Jean-François Millet, une modeste « chaumière » à l’origine mais au vue de la maison cette identification n’est là que pour en rappeler le souvenir.
Villa la Chênaie, située rue de la Belle Marie, le nom indique une proportion importante de chênes dans la parcelle du terrain mais ils ont du être abattus sur la durée.
Villa Les Chèvrefeuilles, située
Villa la Chevrette, laissons le propriétaire constructeur de la maison lui-même, André Billy, dire pourquoi il appela sa maison ainsi : « J’appelai ma maison la chevrette parce que l’on m’avait dit que pour la ma commodité, il était bon que ma maison portât un nom. Il me parut convenir à une maison voisine d’une forêt, et modeste, plus qu’à la solennelle et triste demeure de l’amie des encyclopédistes. » Extrait de : les beaux jours de BARBIZON d’André BILLY éditions du Pavois 1947.
Villa la Chimère, située rue de la belle marie elle porte le nom de sa voisine beaucoup plus imposante mais qui a changer de nom peut être pour y laisse se souvenir, ou pour faire un rappel au fait mythologique s’y rapprochant.
Villa les Chimères, cette villa n’est plus connu sous ce nom mais la Lisière, elle semble avoir pour origine cette indication : » En 1907, il avait encore de l’allure. Haute taille, grandes jambes, profil de rapace, voix profonde et sonore, accoutrement de coureur des bois : un vrai baron de Sigognac, un peu déplumé, toujours prestigieux. Son logis était à l’avenant ; un château, ou plutôt une maison de misère, située à l’une des extrémités du pays, presque en pleine foret, qu’on appelait les Chimères. » Extrait de : les beaux jours de BARBIZON d’André BILLY éditions du Pavois 1947.Pour le propriétaire qui fit construire cette énorme maison ce nom se devait d’être porter par la suivante sur le terrain en hommage à l’illustre prédécesseur.
Villa Claire, jumelle de la villa Alice, elle en reprend les caractéristiques et agencements.
Villa Cocasse, située CD 64 dans la partie rue du 23 août, aucune indication visible.
Villa la Commanderie, située Grande rue une indication nous en ai donné Par sa location en avril 1925 constituée de 4 pièces.
Villa Corail, une indication trouvé sur le net nous indique qui en était un des occupants ;
SUITE DE SIX CHAISES en bois naturel à dossiers légèrement renversés à bandeau sculpté et palmettes ajourées dans un vase. Pieds antérieurs fuselés à bague, pieds postérieurs sabres. Époque Directoire Haut : 87 cm Larg. : 45 cm Prof : 40 cm Provenance : Ancienne Collection Mireille PERRET (Bordeaux 1904-Fontainebleau 1991) De son vrai nom Camille Mireille Perret, elle habitait la villa Corail à Barbizon. Mireille Perrey était pensionnaire de la Comédie française de 1942 à 1947. Elle fut une grande actrice française et travailla avec les plus grands de l’époque. Au cours de sa carrière, elle a joué dans 41 films de 1931 à 1960 puis dans quelques téléfilms et séries françaises jusqu’en 1980.
Villa le Couvent, situé dans la rue Ernest Revillon elle semble indiquée qu’un couvent fut là avant la construction de cette maison, mais d’après les recherches en cours cela semble peu probable, au vue du peu de documentation ancienne , nous allons plutôt nous diriger vers convent, ancien français indiquant un lieu de réunion, et ici à l’époque les moutons et autres animaux de fermes devaient s’y retrouver peut être sur les communaux ou tout au moins garder en réunion par les petits gardiens.
Villa Cyrano, située Grande rue à Barbizon son plus célèbre occupant fut par une indication : « Vers 1907 Ziem occupait une villa au milieu du pays. Une plaque y rappelle ses derniers séjours. » Extrait de : les beaux jours de BARBIZON d’André BILLY éditions du Pavois 1947.
Villa l’Écureuil, située au coin de al grande rue t de la rue Theodore rousseau la maison fut remarquée par notre écrivain bien connu maintenant de vous : « La première fois que je pénétrai à l’écureuil, la maison ne portait pas ce nom, et elle était habitée par Mme Marc Logé, traductrice de Lafcadio Hearn, qui m’avait invité à prendre une tasse de thé en compagnie de Vicente Blasco Ibanez et Louis Latzarus. A l’écureuil Chéreau avait succédé au peintre Journaux. Il fut remplace par le marquis et la marquise de Potestad » Extrait de : les beaux jours de BARBIZON d’André BILLY éditions du Pavois 1947. En 1932 un commerce de brocante y fut ouvert.
Villa Élisabeth, située Grande Rue, grâce à un texte administratif nous apprenons que le propriétaire de l’époque loue ; appartement (cuisine, salle à manger, salon, 2 chambres, chambre de bonne, 10 000Frs en mai 1930.
Villa Émilienne, située Grande rue une indication nous est fournie par la présence d’un loueur d’appartements qui met fin à son commerce en janvier 1928.
Villa l’Ermitage, aucune indication.
Villa Etche Hérem, située dans la rue charles Jacque elle indique une provenance basque du propriétaire
Villa Floralie, située Grande rue nous apprenons qu’en juin 1933 le propriétaire en fait une location en meublé
Villa la Forestière, située rue de la belle Marie, maison ancienne d’après les actuelles propriétaires mais pas plus de renseignements. Elle se nommait la tente avant.
Villa les Fougères située CD 64 dans sa partie du 23 août, cette plaques bleutées indique une construction dans les années 20, une indication sur le registre des commerces nous dit : « commerce de coiffure pour dames à l’enseigne “coiffure de dames- parfumerie”, villa “les fougères” », y voir un rapport avec les fougères espèces botanique regroupant les plantes de type fougère dont une partie n’existe plus (préhistorique).
Villa la Fraisière, située aussi CD64 partie vers Chailly en bière, un peu d’ironie anime se nom peut-être par le prix excessif pour sa construction ou son achat pour son propriétaire ou bien une plantation de fraisiers plaisir gourmand de ses propriétaires.
Villa les Frises, aujourd’hui ce nom était caché par les plantes qui en recouvraient la plaque, la villa est toujours là située Grande Rue.
Villa les Fusains, aussi située Grande rue, cette plaque émaillée bleue indique une construction dans les années 20 dans sa dernière extension, Fusain d’Europe (Euonymus europaeus) est un arbuste ou un petit arbre de la famille des Celastraceae.
Villa le Grenier, située rue du chemin de la messe, cette maison fut construite en 1962 par un cadre de Renault, elle était à la pointe des techniques de construction pour l’époque.
Villa les Grès, située à l’entrée de Barbizon sur un des lieues les plus haut du village, elle domine la plaine au lieu dit la Crête, le caractère particulier de cette maison avec ces panneaux de faïence sur la façade en fait une des plus colorées du village, de style moyen-oriental en fait comme beaucoup d’autres un exemplaire unique de cette époque.
Villa Grézillia, située Grande rue, une indication nous livre un renseignement par une fin de location d’un appartement en janvier 1929.
Villa Le Gui, située rue jean batiste Comble, elle abrite un arbre âgé de plus de 150 ans, un thuya du canada.
Villa le Hameau ou Hameau d’Hortense, située rue de la Belle Marie elle occupe un e place de choix entre la foret de fontainebleau et l’ancien hôtel de la forêt, mais laissons notre conteur bien connu nous faire en faire une description : » Paul Haag, professeur à l’école polytechnique, haut fonctionnaire au P.L.M. // A l’exposition universelle de 1889 il avait acheté une maison norvégienne en bois qu’il fit reconstruire à BARBIZON, sur un terrain disposé de telle sorte qu’il fallut la planter de travers. Peu à peu Paul Haag acquit les parcelles avoisinantes et ainsi forma ce que l’on appelle le Hameau. » Extrait de : les beaux jours de BARBIZON d’André BILLY éditions du Pavois 1947.
Villa Henri, située rue de Fleury, elle est une des nombreuses fermes de cette rue qui portait ce nom familier des habitants
Villa l’herbée, située sur le CD64, dans sa partie sur Macherin,
Villa Hortense, située rue de la plante rabot, la plaque n’est plus là
Villa le Houx, située laissons notre chantre local en parler : « Après avoir quitté le nid, il s’installa aux Houx, en pleine grande rue et comme je m’étonnais qu’il eut pas préféré une habitation plus éloigné des autos et du tortillard, il m’avoua être de ceux qui regretteraient le petit train, son halètement sourd, sa cloche d’alarme, sa fumée, sa tristesse, son allure de vieille machine déglinguée, nonchalante et sournoise ». Extrait de : les beaux jours de BARBIZON d’André BILLY éditions du Pavois 1947.
Villa la Huchette, située rue Charles Jacque, sa désignation vient d’un mot ancien signifiant coffre, puis il servit pour mettre le pain (aussi dit maïe) donc l’emploi du diminutif donne un air encore plus petit à la maison qui il faut bien l’avouée n’est pas grande.
Villa les Hirondelles, située rue du chemin de la messe
Villa ?? Un nom trop illisible situé rue Jean François Millet de construction ancienne, elle est en pleine rénovation.
Villa les Iris, située Grande Rue cette maison à laisser une impression à notre chantre local : « Nous nous engagions dans la Grande Rue. De rares lumières brillaient aux fenêtres. J’ouvrais la grille des Iris. Nous montions l’escalier du petit logement… Une flambée rougeoyante et crépitante nous accueillait. »Extrait de : les beaux jours de BARBIZON d’André BILLY éditions du Pavois 1947.
Villa Iruski-sartea, située rue de la barbizonniaire elle indique une provenance basque du propriétaire, cela veut dire soleil couchant. Elle aurait été construite vers 1900 et refaite vers 1935.
Villa Les Jasmins, la maison est située rue Antoine Barye le nom indique une préférence pour les fleurs
Villa La jeannette, située Grande rue, une indication est trouvée pour une location en meublé en date de juin 1937 comprenant cuisine, 2 salle à manger (?), 4 chambres.
Villa Jeanne d’Arc, située sur le CD64 sur la partie commençant rue de gaulle, y voir un partisan défenseur de notre sainte brûlée par les anglais.
Villa Kary Mour, située chemin du montoir, elle indique une provenance anglophone des propriétaires.
Villa Ker Koz, nom à consonance celte peut être le premier propriétaire venait de cette contrée lointaine une description nous en ai donné en 1939 à l’occasion de sa location en meublé entre avril et octobre de cette année ; maison cuisine, S à M, S, S de B, 6 chambres sise route de macherin.
Villa Ker Monik, située sur le chemin du bornage, cette maison certainement d’origine bretonne comme toutes les maisons nommée ker qui indique la maison , le foyer ( attention ker est aussi un mot dans les langues tchèque, slovène( parce que). Un personnage illustre y a laissé une trace dans l’histoire de notre village par son passage dans ces murs le révolutionnaire russe, Léon Trotsky, un extrait de livre nous donne une indication : « La villa indiquée était Ker monique, sur le bornage, à mi-chemin du grand veneur. En bon journaliste que j’étais et que je suis peut être encore, je pris le téléphone et fis part de la nouvelle à mon journal. Publié le lendemain matin, elle provoqua une ruée de reporters à Barbizon.// Carco qui aime à visiter les appartements et villa à louer, se la fit ouvrir en 1935 : « C’était un pavillon en pierre meulières à la lisière de la forêt. Un sentier traversant un boqueteau d’acacias, y conduisait directement, mais un second sentier, qui rejoignait à gauche la route du cimetière, aboutissait à celui que nous venions de suivre, contournait les haies du jardin et se perdait entre les arbres//dans le verger des pommiers « éditions du Pavois 1947.
Villa les Lauriers, située Grande rue elle y a vue en juin 1925 un commerce de lingerie et bonneterie ouvert par sa propriétaire madame Jean Madeleine qui y mit l’enseigne A Marie Madeleine, puis en 1939 l’ouverture d’un cabinet de médecine générale.
Villa la Licorne située chemin de la plante rabot, la licorne est récente dans sa conception et dans sa construction.
Villa Les Lilas, située grande rue ,un commerce pension de famille, location de chambres avec petit déjeuner villa “les lilas” et « la petite maison » fut ouverte en mars 1924, puis en juillet changement commerce pension de famille, location de chambres avec nourritures villa “les lilas” et la petite maison, en mars 1926 la propriétaire change de commerce pour commerce de curiosités ,auprès de l’hôtel du bas breau dans une maison appartenant à M. Jacque, à l’enseigne Ye old curiosities shope, pendant qu’en avril 1926 la villa est reprise pour y faire commerce de pension de famille , chambres et nourritures au seul locataires, dans 2 maisons, les lilas et la petite maison ce commerce durera jusqu’en décembre 1928.
Villa La Lisière, située en lisière de foret et du village à l’époque, cette demeure n’est en fait que l’ancienne villa les Chimères rebaptisée.
Villa Lou Cabanou, une indication de location pour le compte de M. Thorel en date de 1939 y à laissé une trace de ce nom.
Villa les Mahonias, située grande rue et ménard cette maison y était occupée par le fameux Alfred Grand qui y ouvra son tumble Inn hôtel et bar où toutes les célébrités internationales s’y retrouvaient, il ferma l’hôtel en janvier 1929 puis ferma l’établissement en 1933 pour qu’à la place un commerce d’antiquité y ouvre en janvier 1933.
Villa les Marguerites, située Grande rue cette maison fut un temps un commerce de loueur de voitures en mars 1925, puis une location nous est indiquée en août 1932 ; appartement 2 chambres, salle à manger, cuisine dans villa les marguerites par le même propriétaire.
Villa les Mésanges, située rue des Charmettes, une fin de location pour cette appartement de 6 pièces en 1929
Villa les Moineaux, située rue Théodore Rousseau un texte nous y apprends la mise en location de cette appartement avec cuisine, salle à manger, cabinet de toilette, chambre en date du 15 avril 1938.
Villa la Renaude, située rue jean batiste Gassies, construite vers les années 50 sans doute avec l’arrivée de nos amis américain des forces de l’OTAN stationnées à Fontainebleau. Une autre villa pas très loin parait avoir été construite en même temps.
Villa mon Repos,
Villa Marie–Louise, située Grande rue elle accueilli un commerce à l’enseigne « curiosités et gravures entre août 1933 et octobre 1937. Nous trouvons encore le nom de son propriétaire monsieur Largier commerçant à Barbizon, aucune trace à ma connaissance.
Villa Le Monastère, située rue de la Belle Marie, cette demeure imposante par sa taille, sa disposition ainsi que par ces caractéristiques architecturaux, prends une place spéciale un morceau de texte de notre livre connue nous en livre une explication : « Le marquis ou soi disant tel, de Wiett, qui avait acheté, en face de la baracca, une villa, le Monastère, et, à coup de millions, l’avait transformée en une sorte de décor pour film américain, poussant le souci de la reconstitution jusqu’à faire sculpter ses armoiries sur la façade. » Extrait de : les beaux jours de BARBIZON d’André BILLY éditions du Pavois 1947.
Un curieux personnage qui était peintre, habita cette maison, Pierre Thorel.Très connu du monde parisien de l’époque, Maurice DEKOBRA parlera de lui dans « Minuit Place Pigalle », Il s’était fait retendre le visage et quand il revint à Barbizon, personne ne le reconnut. Sa renommée en peinture ne fut pas bien grande, pourtant il avait fait le portrait de sa femme Madeleine avec du jus de différents fruits et légumes. De son vivant il avait fait mettre une plaque sur sa maison en laissant un blanc pour la date de sa mort ; Il se voyait certainement dans la lignée des grands peintres de l’école de Barbizon. La plaque a évidemment disparu. Pendant la guerre Le Monastère fut la propriété de Wiette, soi-disant baron, collaborateur acharné, il organisait des fêtes, où assistaient des dignitaires allemands et des personnalités très compromises à la libération.
Villa le Montoir, située rue de la Belle Marie de construction récente cette maison réalisée en meulière de pays, ici c’est la partie du village dénommé le montoir par rapport à la différence altimétrique suffisante pour y voir une butte élevée.
Villa la Musarde, située rue Ernest revillion, un rapport avec la flânerie ici au féminin donc à voir avec la maison où l’occupant aimait à y rester un peu trop longtemps !
Villa la Musardière, située rue Théodore rousseau et à l’angle de la rue jean batiste comble, elle faisait partie de l’ensemble appartenant aux Bouvard
Villa le Nid, située rue Gassies elle avait son entrée rue Félix Herbet, avant d’être vendue et après découpée en lots, un passage dans le livre de Billy nous livre un morceau de son histoire : « Le Nid, pension de famille enfouie dans la verdure et qui comportait trois bâtiments sépares, avec tennis, parc, potager, jardin anglais, petite rivière, bassins, ponts rustiques, etc., abrita Carco lorsqu’il fut là des Charmettes et des Pléiades. » Extrait de : les beaux jours de BARBIZON d’André BILLY éditions du Pavois 1947.Cette villa ouvrit un commerce en avril 1926 une pension de famille qui dura jusqu’en 1934 date de la cessation d’activité pour cause de vente.
Villa les œillets, située Grande rue,
Villa OK’s, située rue de la Belle Marie, elle a pour origine une construction fait par une anglophone du nom de Kelly pour le prénom voir.
Villa l’Orme, située sur le CD 64 dans la partie centrale vers la grande rue, elle porte le nom d’un arbre qui sans doute poussait sur le terrain.
Villa l’Oustalet, située rue Charles Jacque, elle abritait le peintre Daniel Rouvière, créateur d’une école de peinture à Barbizon dans la continuité des ses illustres aînés.
Villa la Palette, située rue Jean François Millet elle semble date des années 20,
Villa la Pentecôte, un texte administratif nous indique qu’un commerce de brocante y vit son ouverture en Août 1929 en son lieue.
Villa les Pervenches, située rue Charles Jacque vers le centre du village, cette grande maison au décor animalier, sur la carte postale nous avons de précieuses indications sur la propriété ; une serre, dépendance et parc nous donnes à penser que cette maison devait appartenir à un membre éminent de la communauté.
Villa le Petit Pin, située chemin du montoir semble de construction récente.
Villa Les Peupliers, située rue du chemin de la messe dans la partie centrale, elle fut construite pour les besoins des frères farman, par un architecte de Paris. Rue du chemin de la messe au niveau du 20.
Propriétaire : Farman
Détruite à ce jour.
Architecte : Georges Roux.
Le choix du propriétaire a été fait sur la localisation du village assez loin de Paris pour y être au calme, mais suffisamment près pour y aller le plus souvent possible avec l’agrément de la forêt de fontainebleau et de la seine pour les sports d’eau. Le choix de l’emplacement dans le village a été dicté par le moyen de locomotion utilisée par le futur occupant, l’avion, la demeure se devait d’être dans la plaine et non près de la forêt. Avec un verger, un potager, une pairie occupée par quelques vaches et la plus grande partie par une piste d’atterrissage pour l’avion servant aux déplacements coutumiers du pilote. Une maison confortable en toutes saisons, facile d’entretient, pour éviter un personnel spécial. Le séjour étant pour le repos donc pas d’immense salle de réception mais de grands volumes. Enfin une maison discrète sans en imposée par apport à l’environnement local. L’ensemble du projet se compose, de la villa, la maison du gardien avec garage, le château d’eau et l’étable avec le hangar à avion. Construite en meulière et brique avec quelques éléments de grès toiture en tuiles plates vieillies. Les baies sont en doubles croisées pour avoir une température régulée en été comme hiver, les grandes baies sur coulisses. Pour éviter la monotonie de l’intérieur de la villa la partie nuit a été surélevée de un mètre, ce qui a permis d’avoir 5,50 mètres sous plafond pour le hall d’entrée et 4 ou 3,50 mètres pour les autres pièces de celle-ci. Les autres pièces ont été traitées avec le même souci de la qualité et de la simplicité souhaitée par le promoteur du projet, ma maison du gardien est sur le même style et enfin la remise avec une chambre pour le chauffeur. Enfin pour les corps de métiers intérieurs, l’architecte n’a pas choisi les entreprises locales mais plutôt des sociétés dont les compétences et la rapidité d’exécution permettaient d’avoir un résultat assuré au vu des matériaux et de leurs quantités.
Plomberie et électricité ; maison Gautier-Mathieu Paris,
Chauffage maison Pulpin Paris,
Peinture et décoration maison Perotti Paris.
Villa Pile ou Face, située chemin des mazettes, selon le fils du propriétaire, il trouva le nom en voulant jouer le nom à pile ou face justement, étonnent non ?
Villa La Plaine en Bière, située rue de fleury elle en fini la partie habitée, avant de devenir cette grande demeure caractéristique elle était sur une propriété constituée de 4 maisons qui furent transformées pour devenir cette magnifique demeure.
Villa Plantabo, situé rue Théodore Rousseau, elle était la seule construction sur la butte où plutôt montoir ce qui lui fit donne se nom déformé par les âges.
Villa La Pommeraie, située rue de la barbizonnière, elle est avec les Abeilles une des premières, là le propriétaire avait une passion certaine pour les pommes.
Villa les Pommiers, située Grande rue, elle abritait un des plus connu écrivain de son époque, Galtier Boissiere
Villa Le Pré Fleuri, situé rue Antoine Barye.
Villa Le Prieuré, située rue de Fleury,
Villa les Ramages, l’auteur du livre dont la plupart des renseignements sont tirés y fit un séjour qui le marqua : « Je suis venu m’installer pour la première fois aux Ramages pendant ce terrible hiver de 1928-1929 où le thermomètre se maintint si longtemps aux environs de dix-huit degrés en dessous de zéro, en sorte que les œufs gelaient dans la cuisine ». Extrait de : les beaux jours de BARBIZON d’André BILLY éditions du Pavois 1947.
Villa les Rocheforts, située sur le CD64 dans la partie haute,
Villa Rocfleurs, située sur le CD 64 dans sa partie montante vers Macherin,
Villa les Roches mucets, située dans le chemin de la plante rabot à l’origine la propriété ouvrait sur la belle marie, mais la vente de cette partie en à changer l’entrée principale.
Villa les Roches de Musset, située sur le CD64 dans la montée vers Macherin,
Villa la Roselière, située chemin du montoir cette maison à changer de nom voir à Kary mour.
Villa La Roseraie, située rue des charmettes elle fait partie de l’ensemble Bouvard.
Villa le Rosier, située rue de fleury, le nom semble indiquée un des premiers rosiers planté dans le village ou alors le seul qui est résisté au climat du village.
Villa la Rousselière, située rue Charles jacque, elle était le lieu d’habitation,
Villa le Rucher, située Grande rue, cette maison a laissé une trace administrative par l’ouverture d’un commerce dans ces murs, commerce d’alimentation avec dépôt de vins de moins de 23° en mai 1937
Villa Rustique,
Villa Sainte Marie, située rue Antoine Barye,
Villa Santa Lucia, située sur le CD 64 vers l’école, cette maison porte le nom de l’épouse du propriétaire qui fit construire celle-ci, la plaque comme malheureusement beaucoup d’anciennes plaques de maison a disparue.
Villa Les Sapins, située sur le CD 64 vers Macherin, semble indiqué une origine à voir avec les essences qui poussent sur le terrain misent là par le propriétaire ou naturellement ?
Villa le Saule, situé sur le CD 64 dans le début de la rue DE gaulle, elle
Villa les Sept Feuilles, située sur le cd 64 à son tout début, cela rappelle
Villa Serge située rue des Charmettes, faisant partie de l’ensemble Bouvard.
Villa le Seringat, située grande rue, elle abritait un café
Villa le Souvenir,
Villa Les Sylphes, située sur le CD 64 sur la partie montante vers macherin,
Villa Sylvic ou Sylvis, située sur le CD 64 vers la sortie du village,
Villa Sunny Corner, en français le coin de soleil, villa située rue antoine Barye, d’influence anglophone.
Villa Tallini ou autre l’inscription est en partie effacée, située rue de la plante rabot
Villa les Templiers, située rue du chemin de la messe, en fait il s’agit de l’ancienne maison des gardiens de la propriété des frères farman qui avait leur entrée à ce numéro.
Villa la Tente, située rue Diaz près de la mairie, Le propriétaire qui fit construire cette magnifique demeure était partie prospecter en Afrique pour en revenir riche et le souvenir de ces mois passés sous la tente lui avait été nostalgique et il se fit une pièce de forme octogonale pour y reproduire la forme d’une tente.
Villa Les Tilleuls, située Grande Rue.
Villa le Verger, située rue jules Bourdois.
Villa Vertefeuille, située grande rue dans la partie vers le Placio, une trace est laissé dans un texte administratif en référence à une location en meublée en date de juin 1929, miss Greenough Carol, architecte en date du 1 juin 1929.
Villa Vieil hermitage, située grande rue,
villa la Sauvagère, située Grande Rue, elle offre une vue magnifique sur un jardin et une façade entièrement recouverte de végétation.
Villa Talometat